Financer deux incinérateurs, c’est engager les finances « du » public (nous) pour longtemps. Il n’y a pas assez de déchets actuellement, et il devrait (il devra) y en avoir encore moins dans les années à venir. Il faudra chercher des déchets ailleurs. Ce n’est pas en alimentant un réseau de chaleur l’été que des revenus viendront amortir l’investissement, les intérêts, la maintenance, les salaires, les nouvelles mises en conformité, le traitement des déchets secondaires : cendres et suies.
Merci pour votre contribution. Vous trouverez ci-dessous les réponses du groupement du Sud tourangeau et de Tours Métropole Val de Loire, maîtres d’ouvrage de cette concertation.
Le dimensionnement des capacités des 2 usines d’incinération a été volontairement établi en-dessous des besoins réels recensés à moyen et long terme sur le département. La variable d’ajustement se fera sur les possibilités d’export sur d’autres usines périphériques au département d’Indre et Loire. Par ailleurs , la valorisation de l’énergie produite peut combiner 2 formes : valorisation de la vapeur mais aussi production d’électricité et réinjection sur le réseau.
Nous vous remercions pour votre contribution. Veuillez trouver ci-dessous un complément de réponse de Tours Métropole Val de Loire.
Au vu des baisses de tonnages d’ordures ménagères ces 3 dernières années, Tours Métropole est en train de revoir le dimensionnement à la baisse d’une éventuelle future UVE.