Composteur obligatoire pour diminuer nos déchets domestiques… En Plastique !
Quelle est la logique ?
Incinérateur à proximité des habitations et/ou des terres agricoles…
Outre les dangers pour la santé publique, liées aux émanations dans l’atmosphère, cet incinérateur se trouvera-t-il proche des domiciles des élus ?
Les élus font-ils fi de la motion défavorable du Conseil Municipal de la ville de Parçay-Meslay ?
Démocratie ?
Santé publique ?
Réflexion ?
Les comportements, agissements, décisions des élus sont lamentables, sachant que nos impôts servent à payer des incapables, uniquement focalisés sur leur ego et leur ambition.
Je retire de cette liste certains maires, dont la proximité avec leurs populations est essentielle.
Que laisseront-ils aux générations futures ?
Merci pour votre contribution, vous trouverez ci-dessous la réponse de Tours Métropole Val de Loire, maître d’ouvrage de cette concertation.
Par expérience nous pouvons dire que le composteur en plastique a fait ses preuves par rapport aux composteurs en bois : il a une durée de vie bien plus longue, le compost se fait plus rapidement, le matériel est plus résistant, et nous bénéficions de retours très positifs des usagers. L’ensemble de la Métropole de Tours travaille au quotidien pour la réduction d’émissions de gaz à effets de serre, et des déchets.
Nos priorités : limiter au maximum l’enfouissement en respectant la hiérarchie des modes de traitement des déchets inscrites dans le code de l’environnement et dans le plan régional de prévention des traitements et valorisations des déchets.
En ce qui concerne vos inquiétudes en matière de santé publique, les unités de valorisation énergétique (UVE) respectent notamment des normes strictes imposées par l’Union Européenne et l’Etat Français (arrêté du 20 septembre 2002). Les nombreuses étapes de filtrations permettent de collecter et traiter une très grande part des polluants et les contrôles sont effectués en continu, semi-continu, à fréquence semestrielle et annuelle. Le système de filtration des fumées occupe près de 70% des équipements de l’UVE.
Les projets d’UVE qui sont autorisés aujourd’hui ont une obligation d’analyse et le maître d’ouvrage peut fixer des analyses complémentaires dans le cahier des charges du projet : in-situ des dioxines en semi-continu / “Système AMESA” / des retombées atmosphérique dans un rayon de 3 kms “Jauges Owen” / Analyse des Lichens (Bioindication) dans un rayon de 10 kms / analyse du lait des vaches dans les exploitations d’élevage voisines. Ce sont les types de contrôle mis en place par exemple à l’UVE de Lasse dans le Maine-et-Loire.